« Lemec, âgé de cent quatre-vingt-deux ans, engendra un fils. Il lui donna le nom de Noé, en disant : Celui-ci nous consolera de nos fatigues et du travail pénible de nos mains, provenant de cette terre que l’Eternel a maudite », (Gen. 5 : 28-29).
Les gens de l’époque d’Adam, et de toutes les générations qui ont suivi plus tard, jusqu’à l’époque de Noé, connaissaient les faits, les choses, le drame, l’histoire qui s’était passée dans le jardin d’Eden.
Ils savaient que Dieu avait créé un homme du nom d’Adam, et qu’il lui créa aussi un être semblable à lui, à qui il donna le nom de ‘‘femme’’ parce que, dit-il, elle était sortie des côtes de l’homme. Les gens de ces générations savaient également que la femme d’Adam avait commis l’adultère avec ‘‘le serpent ancien’’, appelé aussi le diable et Satan. ‘‘Une personne’’, ‘‘un homme’’.
Ils savaient aussi qu’avant d’avoir été connue par son mari Adam, le serpent ancien l’avait connue. D’où le nom d’Eve que lui donna Adam son mari, parce qu’elle a été la mère de tous les vivants, (Gen. 3 :20). Ces gens-là savaient aussi que, bien que Caïn fût enfanté le premier, il n’en était pas moins un enfant illicite, illégitime dans la maison d’Adam. Il n’a pas été le fils ainé d’Adam, ainsi que le confirme la généalogie de Genèse 5 : 3 : « Adam âgé de cent trente ans engendra Seth ».
Ils savaient aussi que le père de Caïn, le premier fils de la femme, n’était pas Adam ; mais le fils du serpent ancien ; serpent ancien que j’appellerais ‘‘serpent-homme’’ pour des raisons évidentes. Caïn était issu donc d’une union d’adultère entre ‘‘le serpent-homme’’ et la femme d’Adam. La première femme adultère de la terre.
Toutes ces générations donc depuis Adam étaient au courant de l’histoire du péché, de la séduction de la femme par le serpent-ancien, le diable et Satan.
Satan était un esprit dans un corps physique, charnel, le serpent dont la forme physique n’était connue que de Dieu, d’Adam et de sa femme. Ces trois connaissaient la forme physique du serpent. Et les gens de toutes ces générations-là connaissaient très bien que ce fut la cause de la malédiction prononcée par Dieu contre la terre ; malédiction que rappelle Lemec dans le nom qu’il a donné à son fils, Noé « nous consolera de nos fatigues et du travail pénible de nos mains, provenant de cette terre que l’Eternel a maudite », (Gen. 5 :30).
Ainsi, puisqu’ils savaient que Dieu avait maudit la terre, (Gen.n3 : 17), ils devaient absolument en savoir aussi la cause lointaine de la malédiction, comme l’a dit la femme, répondant à la question de l’Eternel : « Pourquoi as-tu fait cela ? La femme répondit : Le serpent m’a séduite, et j’en ai mangé ». Elle a été consciente de l’acte qu’elle avait commis, ayant brisé le premier ordre de Dieu défendant de manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, (Gen. 2 :16-17 ; 3 :11).
« Le serpent m’a séduite… »
Séduire
Le verbe ‘‘séduire’’ employé par la femme pour la première fois exprime très clairement l’acte commis, c’est-à-dire, tout le péché que la femme avait commis par la séduction avec le serpent. Il comporte tout le sens de ce qui s’était passé au jardin, l’adultère de la femme, avec ‘‘une personne’’, un ‘’homme’’ autre que son mari, alors que celui-ci était encore vivant. Et la traduction en français de ce verbe révèle directement pour les gens qui maitrisent la langue de Molière le sens de ce verbe, mettant au clair ce qui s’était passé au jardin d’Eden. Je sais que même dans d’autres langues le verbe ‘‘séduire’’ garde le même sens, comme en Anglais, ‘’to beguile’’. Le sens d’adultère.
L’écriture de l’apôtre Paul aux Romains revient sur ce cas et dit : « Si donc, du vivant de son mari elle devient la femme d’un autre homme, elle sera appelée adultère », (Rom. 7 : 3). Ce n’est pas qu’elle soit nécessairement ‘‘épousée’’ par ce deuxième homme ; mais le fait d’avoir été connue par un autre homme que son mari du vivant de celui-ci constitue un adultère. Combien de telles femmes trouve-t-on dans ce monde aujourd’hui, ce monde impie, où il est difficile de différencier une femme mariée d’une prostituée ou d’une élève, une fille encore dans la maison de son père ?
Donc, par le fait que ‘‘le serpent-homme’’ a couché avec la femme d’Adam, elle était alors devenue adultère, selon la loi de Dieu.
Le Seigneur créateur, l’Eternel Dieu, l’avait déjà dit avant l’apôtre Paul : « Il a été dit que celui qui répudie sa femme lui donne une lettre de divorce. Mais moi, je vous dis que celui qui répudie sa femme, sauf pour cause d’infidélité, l’expose à devenir adultère, … », (Matt. 5 :31, 32). Comprenons bien ce que dit le Seigneur. Cette femme ne devient pas automatiquement ‘‘adultère’’ mais plutôt, il l’expose, la met devant un risque, devant un danger, selon qu’il est dit ‘‘La chair est faible…’’.
Et nul autre qu’Adam, son mari, ne pouvait mieux savoir que sa femme avait commis l’adultère avec le ‘‘serpent-homme’’. D’où le second nom d’‘’Eve’’ qu’il lui a donné, « car elle a été la mère de tous les vivants », ayant enfanté deux enfants des deux pères différents, (Gen. 3 :20).
L’histoire de l’adultère de la femme d’Adam a été connue depuis des générations successives, et se propageait de bouche à oreille dans chaque génération. Il n’y avait pas encore la Bible écrite en ce temps-là.
Séduire : son sens
Que signifie alors ce verbe ‘‘séduire’’, pour ceux de toutes les langues qui l’ont déjà rencontré ou qui auront à le rencontrer en français, notamment ? Qui auraient de doute à saisir ce que la femme avait dit à Dieu ?
Et nous dans le message nous appelons cet acte de la femme d’Adam ‘‘la semence du serpent’’, provenant de l’acte commis par la femme d’Adam avec le serpent ancien ; acte qui a produit Caïn. Frère Branham nous enseigne et dit : « Aucune autre femelle ne pouvait commettre l’adultère. Elle (la femme) est la seule à pouvoir commettre l’adultère », [W.M. Branham, L’Union Invisible de l’Epouse de Christ, p.13, § 59]. Et c’est un acte qui ne se commet qu’entre des personnes, une femme mariée et un homme, chaque fois qu’elle est connue par un autre homme du vivant de son premier homme. Cela tout le monde le sait. Nul ne peut dire le contraire.
Qui a jamais entendu parler d’adultère d’une chienne ou d’une truie ? C’est pour le genre humain. Et c’est la femme d’Adam qui a commencé, avec le serpent-homme.
Miracle de Dieu
Je prêchais toujours la semence du serpent telle que l’a enseignée frère Branham. J’en avais la conviction. Cependant, ce fut le contraire lorsque je découvris ce verbe dans un ancien dictionnaire que je possède, et que j’avais acheté d’un professeur de français au Rwanda en 1994 lorsque nous fuyions la guerre ; dictionnaire qui n’avait plus de couverture, ni les premières pages, ni l’année d’Edition. J’ai découvert, comme par hasard, bien que le hasard n’existe pas, tout est volonté de l’Eternel Dieu ; j’ai découvert donc le sens du mot ‘‘séduction’’. Je me demande toujours ce qui m’avait conduit à aller consulter ce verbe dans ce Dictionnaire, parce je cherchais toujours à le comprendre. Qu’il soit béni, notre Dieu qui pourvoit toujours à tous nos besoins, au moment où nous nous y attendons le moins.
Car, très vite, j’ai cherché le verbe ‘‘séduire’’, et je ne l’ai pas trouvé dans ce vieux dictionnaire. J’étais très déçu. Comment le mot peut-il se trouver dans un tel document, mais pas le verbe correspondant !
Mais j’ai tout de même remercié le Seigneur, car à partir de la définition et le sens du mot ‘‘séduction’’, la question ne se posait plus. J’ai appris et j’ai compris ce qui s’était passé, réellement, sans nul doute, entre le ‘‘serpent-homme’’ et la femme d’Adam. L’adultère. La semence du serpent.
J’ai compris ce qu’était la séduction, et de là le sens du verbe ‘‘séduire’’, comme l’avait employé la femme d’Adam : « Le serpent m’a séduite, et j’en ai mangé ». C’est ce qui m’a obligé à acheter le dictionnaire, quel qu’en fût le prix.
‘‘Séduction’’. Le mot a été ainsi défini : ‘‘fait pour un homme d’amener une femme à se donner à lui’’. C’était suffisant. C’est ce qui s’était passé au jardin entre le serpent-homme et la femme ; et la femme l’avait bien compris : ‘‘Fait pour un homme d’amener une femme à se donner à lui’’. C’est cela. Ainsi, je n’avais plus besoin de trouver le verbe correspondant. Moi-même j’ai déduit le verbe de la définition du terme.
Et ceci me rappelle une histoire que frère Branham nous raconte à propos d’une ancienne guitare méprisée et rejetée par des hommes ; mais rendue célèbre un jour à la vente aux enchères sous les doigts d’un spécialise. Cela me rappelle encore une parabole dans la Bible que nous raconte le Seigneur Jésus à propos d’un champ contenant un grand trésor. Et l’homme qui l’avait découvert est allé vendre tout ce qu’il avait pour l’acheter, (…). C’est ce que je fis.
Peut-être que le propriétaire s’était demandé pourquoi je pouvais acheter à un tel prix un document si délabré !
Je me demandais aussi comment j’ai pu découvrir ce dictionnaire dans ce salon, alors qu’il y avait bien d’autres livres de français, de grammaire et d’autres objets intéressants ? Moi-même je ne le sais pas. Mais comme je l’ai toujours soutenu, il n’y a point de hasard dans la vie d’un homme. Ni hasard, ni coïncidence. Tout ce qui nous arrive dans notre vie, c’est la volonté de Dieu qui s’accomplit, soit pour le bien, soit pour le mal.
Ce qui est curieux dans ce document donc, dans ce dictionnaire, que je garde jalousement jusqu’aujourd’hui, c’est que j’ai constaté que les auteurs ont donné le sens du nom, du substantif ‘‘séduction’’ ; mais ils n’ont pas donné le verbe ‘‘séduire’’ ! Ce fut un casse-tête pour moi. Je me disais, mais ce verbe se trouve dans la Bible, et la première femme au monde l’a utilisé devant Dieu ; et dans toutes les traductions de la Bible, vous êtes d’accord avec moi, qu’il est employé.
Alors comment expliquer qu’il manque dans le Dictionnaire que je possède ? Comment expliquer l’absence du verbe ‘‘séduire’’, alors qu’Eve l’a bien employé devant l’Eternel ; et que chaque traducteur de la Bible l’a traduit dans sa langue ? Mais pourquoi le verbe lui-même n’a-t-il pas été employé par ces traducteurs ? Si la femme, Eve, l’a employé, comment expliquer qu’il manque sous la plume des traducteurs de ce Dictionnaire ? Alors, omission ou fait volontaire, quand on pense à l’influence de l’Eglise catholique romaine sur la société française de l’époque, époque où ce dictionnaire a été probablement publié… C’est ce qui me pousse à prêter des intentions aux auteurs. L’absence du verbe ‘‘séduire’’.
Alors, continuant avec mes recherches sur le sens du verbe ‘‘séduire’’ – que Dieu soit béni – je viens de tomber sur Internet ; et j’ai trouvé presque le même que celui du mot du vieux dictionnaire.
Séduire/8 décembre 2020. ‘‘Action, fait de séduire quelqu’un, l’attirer irrésistiblement, de le charmer par un pouvoir plus ou moins… Amener (qqn) a des relations sexuelles…’’.
‘‘Action de séduire quelqu’un, de l’amener à consentir a des relations sexuelles’’.
Dans mon document les auteurs ont donc ainsi défini le mot : ‘séduction’ : ‘‘fait pour un homme d’amener une femme à se donner à lui’’. ‘’…de l’amener à des relations sexuelles’’. Tout était fait.
C’est aussi précis que dans le document sur Internet. Le fait seulement d’avoir lu cette phrase dans ce vieux dictionnaire, j’ai failli crier de joie, mais je me suis retenu ; j’ai senti en moi comme un poids lourd qui sortit de mon cœur et qui tomba par terre à mes pieds ! Et tout d’un coup j’ai repassé en moi tout le message de frère Branham. Je me suis demandé comment est-ce possible qu’une telle définition puisse se trouver dans un dictionnaire profane, qui ne parle pas de Dieu ni de religion ; mais document de haute portée scientifique et littéraire, alors que c’est cela la base même du Message apporté à l’Eglise des nations par le serviteur et prophète de Dieu, dans cet âge finissant, de Laodicée, W. M. Branham, l’homme de Kentucky ! Sans niveau d’études ! Mais plusieurs hommes de Dieu dans des dénominations chrétiennes ne veulent pas voir la vérité. Ce n’est pas de leur faute.
L’épitre de Paul aux Romains les justifie ainsi : « Car ceux qu’il a connus d’avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l’image de son Fils, afin que son Fils fût le premier-né entre plusieurs frères. Et ceux qu’il a prédestinés il les a aussi appelés, et ceux qu’il a appelés, il les a aussi justifiés, et ceux qu’il a justifiés, il les a aussi glorifiés », (Rom. 8 :29-30).
Tels sont les cinq verbes de grâce pour les gens des nations qui doivent être sauves : 1. Être connus d’avance de Dieu 2. Être prédestinés 3. Être appelés 4. Être justifiés 5. Être glorifiés.
Les gens de théologie ne croient ni à la prédestination, ni à l’élection : « En lui Dieu nous a élus avant la fondation du monde pour que nous soyons saints et irrépréhensibles devant lui », (Eph. 1 :4), ni au choix de Dieu : « Lorsqu’ils eurent cessé de parler, Jacques prit la parole et dit : ‘Hommes frères, écoutez-moi ! Simon a raconté comment Dieu a d’abord jeté les regards sur les nations pour choisir du milieu d’elles un peuple qui portât son nom », (Act. 15 :14). Ce n’est pas Branham, un niveau de 6e primaire qui a écrit cela. Ils ont tout ceci dans leur Bible ; mais ils ne comprennent rien. Car ils comptent plus sur leur intelligence de faculté de théologie que sur Dieu.
Alors, comment ces amis peuvent-ils être sauvés, s’ils ne croient pas dans ces cinq actes de grâce de Dieu pour les gens des nations ? C’est la raison pour laquelle ils ne peuvent comprendre la semence du serpent. Car, c’est de là qu’ils viennent. Amen. La théologie tue. L’Esprit sauve. Amen.
Personne ne peut l’expliquer, sinon Dieu seul, comment je fus conduit dans cette maison du professeur pour découvrir ce dictionnaire. Amen. Pour moi, ce fut une preuve de plus de ma vocation céleste. Que l’Eternel m’avait réellement appelé pour le servir dans son Eglise, à travers ce précieux Message prêché par son serviteur et prophète avec l’esprit du prophète Elie pour les nations, W. M. Branham, l’homme de Kentucky.
Gloire à Dieu notre Père par Jésus-Christ, son Fils, notre Seigneur, et notre sauveur. Trouver une telle définition dans un vieux dictionnaire ! Qui penserait le contraire ? Que ce n’est pas un acte de grâce de Dieu ! Alléluia. Jésus de Nazareth, l’Eternel sauveur. Quelle consolation !
Donc, la séduction est un acte entre deux personnes adultes, de sexes opposés, et dont l’une est une femme mariée à un homme qui est encore vivant. ‘‘Fait pour un homme d’amener une femme à se donner à lui … amener quelqu’un aux relations sexuelles’’.
Mais quel est le verbe correspondant à ce nom séduction, car la femme n’a pas employé le nom, mais le verbe ? C’est la question que je me suis posée et qui m’avait tourmenté pendant longtemps. Comment et pourquoi le verbe ‘‘séduire’’ ne peut-il pas se trouver dans ce dictionnaire, alors que ce nom y existe ? Car il fallait trouver ce verbe d’action de cet acte.
Alors, je me suis dit que les auteurs du dictionnaire ont dit effectivement ce qui s’était réellement passé au jardin d’Eden, ce qui avait eu lieu entre ‘‘le serpent ancien – homme’’ et la femme d’Adam. L’adultère. Et la femme l’a bien reconnu et confessé devant l’Eternel Dieu : « Le serpent m’a séduite, et j’en ai mangé ». Qui le lui a dit, qui le lui a inspiré pour la première fois ? Et puis, le manquer dans un dictionnaire !
Dans ce dictionnaire sur l’Internet il est tout simplement dit : Séduire : ‘‘tirer à l’écart ; attirer fortement ; s’imposer à quelqu’un par telle qualité, charmer ; obtenir les faveurs de quelqu’un.’’ Faveurs : ‘‘Marques d’amour données par une femme à un homme’’. Mais, c’est loin de ce qui est dans le vieux dictionnaire, et qui ne demande pas d’explication. ‘‘Fait pour un homme d’amener une femme à se donner à lui… aux rapports sexuels’’. Plus de doute.
Et ce n’est pas Branham qui l’a écrit dans ce vieux dictionnaire, ni sur Internet. Il est décédé depuis le 24 décembre 1965 Que son âme repose en paix.
‘‘Bientôt nous serons ensemble
Dans le Temps ou l’Eternité’’.
L’adultère. La semence du serpent.
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