« Au commencement était la parole, la parole était Avec Dieu, et la parole était Dieu », (Jean 1 : 1).
Entêtement des théologiens
Frère Branham nous signale la difficulté qu’eurent les spécialistes et les experts en langues d’ancien temps à parvenir à s’accorder sur le sens d’un mot. Le débat était tellement houleux que les historiens dirent que le monde a été divisé à cause d’une diphtongue. Il rapporte : « Il n’y a guère d’érudits qui ne croient pas que le Nouveau Testament orignal était en grec. Tous nos grands érudits en ce qui concerne la Bible ont dit que Dieu a donné au monde trois grandes nations, avec trois grands apports à la cause de l’Evangile. Il nous a donné les Grecs, qui ont donné une langue universelle. Il nous a donné les Juifs, qui nous ont donné la vraie religion et la vraie connaissance de Dieu à travers le Sauveur. Il nous a donné les Romains qui nous ont donné un empire unifié avec un appareil juridique et un réseau routier. Ainsi nous avons la vraie religion, la langue qui permet de la transmettre à de nombreux peuples, et l’Etat et les routes qui constituent des conditions matérielles favorables à sa diffusion. Et, historiquement, cela semble être tout à fait vrai. Et aujourd’hui, nos hellénistes disent que si l’étudiant du texte grec est un grammairien expert et précis, il peut véritablement savoir ce qu’enseigne la Parole du Nouveau Testament », [Exposé des Sept Ages de l’Eglise, p. 31].
On dirait que tous ces spécialistes et experts en langues ne lisent pas la Bible que nous nous lisons. Sinon ils verraient que la Bible n’a pas besoin des experts pour être comprise, car n’ayant pas été écrite par des experts. La Bible demande que l’on reçoive le Saint-Esprit pour que l’on puisse la comprendre : « sachant tout d’abord vous-mêmes qu’aucune prophétie de l’Ecriture ne peut être un objet d’interprétation particulière (humaine), car ce n’est pas par une volonté d’homme qu’une prophétie a jamais été apportée, mais c’est poussé par le Saint-Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu », (2Pier. 1 : 20-21). Mais le péché est têtu ! … (LIRE PLUS…)
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