I.0. Introduction
« La Parole Parlée est la Semence Originelle… Dieu les bénit, et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre ; …Il créa l’homme et la femme, il les bénit, et il les appela du nom d’homme lorsqu’ils furent créés… », (Gen. 1 : 28 ; 5 : 2).«Quiconque croit en lui ne sera point confus. Il n’y a aucune différence, en effet, entre le Juif et le Grec, puisqu’ils ont tous un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l’invoquent », (Rom. 10 : 11-12).
Une expérience douloureuse : Genèse
Il y a dans la vie de tout homme, de tout véritable serviteur de Dieu des évènementset descirconstances qui surgissent, qui paraissent être paradoxales, et que la petite intelligence humaine ne peut saisir. Mais, comme le dit l’écriture, « Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein », (Rom. 8 : 28). Cet amour nous aide donc à tout jeter derrière nous, et à garder les regards sur celui qui est le chef et le consommateur de la foi que nous professons, Jésus.
Dieu dit à l’homme et à sa femme : « Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre ». Dieu est égal à sa parole parlée ; ce qu’il a dit il l’a dit ; et ce qu’il n’a pas dit n’existe pas. C’est pourquoi frère Branham a prêché la prédication ‘‘La Parole Parlée est la Semence Originelle’’, [La Parole Parlée est la semence originelle, p. 5]. Ainsi ce que Dieu n’a pas dit vient de l’homme, et c’est une source certaine de désordre.
Un frère prédicateur a épousé ma fille dernièrement. Il a remis dot, cadeaux et tout ce qui lui a été demandé, selon la coutume. C’était au mois d’août 2017. La fille était désormais sa femme, par le fait qu’il n’était plus redevable à la famille. La seule condition que je lui avais donnée a été que le mariage fût d’abordenregistré au service d’Etat Civil. Ce qu’il accepta volontiers. Et Il ajouta que son souhait était, considérant qu’il venait de commencer le travail en avril 2017, et qu’il n’avait pas assez de moyens, qu’après la commune, ils se dirigeassent directement à leur domicile ; autrement dit, sans ce qu’on appelle réception du mariage avec beaucoup d’invités.
Cette proposition fut la cause de malentendu et de ‘‘discorde’’entre le serviteur de Dieu, la famille et l’église. Moi non plus je n’en étais pas d’accord. Ma position a été dictée par le fait que la jeune fille a grandi dans ce quartier ; qu’elle était connue de beaucoup de filles, et de mamans. La conduire directement chez son mari après l’enregistrement de l’union devant l’Officier de l’Etat Civil, ce serait une déception pour elle, et cela risquerait de l’accompagner toute sa vie. Et moi j’argumentais qu’il n’était pas de bon aloi qu’une fille de pasteur puisse aller chez son mari sans une réception, si sobre fût-elle, question de formalité.
Le frère avait semblé être d’accord avec la proposition. Mais ailleurs, j’apprenais qu’il n’était pas très chaud avec cette pensée ; et qu’il avançait ses raisons : il travaille, il rentre tard à la maison ; il n’a personne pour lui préparer la nourriture pendant la pause ou le soir ; il dit que c’était la raison pour laquelle il a fait tous ces sacrifices et contracté des dettes, pour recevoir sa femme sans délai. Et moi je le comprenais ; car quelqu’un qui a déjà doté, pourquoi ne devrait-il pas vivre avec sa femme ? C’était devenu un véritable casse-tête. Le mois de septembre passa.
Un jour, parlant avec mon épouse je lui ai dit qu’il était possible d’avancer alors la date du mariage au 13 décembre au lieu du 23 décembre arrêtée initialement.
La tendance était donc à avancer la date du ‘‘mariage’’, lorsqu’un jour nous apprîmes,début octobre, que la femme était grosse ! Cela a affecté beaucoup la famille et l’église.
La cause de discorde
Fallait-il bénir ou non,dans ces conditions,cette union devant l’église ? Un casse-tête… …[…LIRE PLUS]…..
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